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I'm not sure why the movie prolongs the ambition of remaining so intentionally and completely vague, but even by the end of multiple viewings some things remain unclear. Perhaps there is some secret demand for this
kind of gross ambiguity I'm not aware of, but it strikes me as inconsistent imagination or lazy writing -- or worse, pretentious writing. Like, "Oh, look at how confusing and misleading I can be. You'll never
figure this out. "
In general, Perfect Blue is fun to watch just for the surreal visual elements. It has very nice use of colors (darks, lights, illumination, etc. ) and some trippy scenes. As a whole however, for me personally, this
enjoyment was countered by the movies refusal to allow the audience to be able to discern reality from illusion. Now of course, I don't want to have things spelled out for me. I enjoy having my perception toyed
with as much as the next person, but by the end of a movie, especially after watching more than once, I expect to at least have some grasp on what was "really" going on. Otherwise I just feel confused and frustrated wondering what the point to the whole thing was.
Plusieurs années après la mort de Raoh et de Yuria (Julia en version française), Ken effectue une seconde venue pour prêter main-forte à Bart et Lynn, maintenant
adultes et leaders de l'armée du Hokuto, milice rebelle contre la tyrannie des troupes de l'Empereur céleste, commandées par un régent nommé le Gouverneur Jakoh. Ken se mesure alors aux maîtres de l'école Gento Kokken. Après la défaite finale de Jakoh, Lynn est enlevée et Ken doit traverser le seul océan restant pour se rendre sur les terres de Shura (修羅の国, Shura no Kuni?), connues aussi sous le nom de Pays des démons. Les Terres de Shura ne sont autres que le lieu naissance de Raoh, Toki et Kenshiro. Ce pays est gouverné par Kaioh, le frère biologique de Raoh, qui est aussi dépositaire du Hokuto
Ryūken (北斗琉拳, Le poing du dragon de l'étoile du nord?), une branche déviante et maléfique du Hokuto. Après avoir retrouvé le secret du Hokuto originel (Hokuto Sōke), Ken vainc le mal de Kaioh, sauve Lynn et libère le pays des démons. Enfin, Ken retrouve Ryu, le fils de Raoh, et le prend comme disciple pour faire de lui son successeur[4]. Dans l'animation, la fin diffère en ce sens que Ken, pensant avoir mis fin à la tragédie du Hokuto, fait une rétrospective de sa vie, du sens de ses rencontres et de ses combats, puis disparaît avec Kokuo en se promettant de se battre tant qu'il resterait des adversaires dignes de lui. Production[modifier | modifier le code] Tetsuo Hara, créateur de la série, en 2013, lors d'une convention. Adolescent dans les années 1970, Tetsuo Hara était fan de l'expert en arts martiaux et acteur chinois Bruce Lee, ainsi que des mangas d'action et de l'acteur de films d'action japonais Yūsaku Matsuda. Ne possédant pas de magnétoscope à l'époque, il dessinait souvent de mémoire des versions manga de Bruce Lee et de Yūsaku Matsuda[5].
This is more pronounced later on, with a major character being a Sailor Senshi Send-Up. Star Wars: The Clone Wars is described by its creators "like
anime but in 3D", the show has clear influence in anime art
style merged with the Genndy Tartakovsky style seen in Star Wars: Clone Wars. Star Wars Rebels: The successor of The Clone Wars naturally applied an animesque art style fused with a little Disney art style. Star Wars Resistance has an even more noticeable anime influence than its predecessors, right down to the more expressive faces and brighter color palette. It's even co-animated by Polygon Pictures, the Japanese studio behind shows like Knights of Sidonia, Blame! and Ajin, as well as the animated Godzilla films. Though its art style is mostly western, Steven Universe takes a lot of aesthetic and thematic hints from anime.